#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !La posidonie recouvre les plages d’Antibes dans les Alpes-Maritimes. Ces plantes aquatiques vont rester sur le littoral jusqu’au printemps. Utiliser une plante protégée pour limiter l’érosion de plages, une solution naturelle, mais qui ne suffit pas. Chaque année la commune doit racheter pour 100 000 euros de sable. L’homme a construit un autre rempart à l’érosion : un brise-lames. Mais ce dernier va dévier les courants et éroder une zone contigüe. Le problème est donc déplacé avec les constructions en dur.Des solutions coûteusesDu dur, il n’y en a plus sur le sable en vertu du décret plage. Avant, la houle venait se briser sur les restaurants de plage, puis elle arrachait le sable vers la mer en se retirant. À Sophia Antipolis (Alpes-Maritimes) on reproduit les effets de la mer. Des données qui permettent de prévoir 48 heures à l’avance le risque de submersion sur un établissement balnéaire par exemple. Des infrastructures mobiles, à déployer uniquement en cas de risques avérés, pourraient être la solution. Mais ces travaux sont souvent trop coûteux pour les communes qui continuent d’entasser des rochers pour limiter l’érosion du littoral.Le JT
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JT de 19/20 du dimanche 18 novembre 2018 L’intégrale
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